8h30. Réveil difficile.
Petit déjeuner, vaisselle, douche.
9h40. Plus de prétextes pour ne pas travailler. J'allume mon ordinateur.
10h. Hum... J'ai enfin fermé mes boîtes mails, fait le tour des blogs que je suis régulièrement (au lieu d'utiliser mon tableau de bord iGoogle - mais qui osera affirmer que c'est pour me promener de lien en lien?).
10h40. Nombre de mots écrits: 300. Nombre de mots effacés: 300. Nombre d'idées de formulation intéressante et "académique": 0.
11h. 10 lignes d'écrites: presque une victoire.
11h15. Pause café (thé pour moi). Lecture de blogs de savonnerie en buvant 3 tasses de thé.
12h. Comment ça, une pause café ne devrait pas durer aussi longtemps?
12h40. 10 lignes de plus. Mais maintenant j'ai faim...
14h. Il est l'heure de se remettre au travail.
16h30. 2 pages d'écrites (que je ne relirai pas): pause bien méritée.
17h30. Réveil en sursaut, une page de "Tales of Glass Town, Angria and Gondal" imprimée sur le front. Qui pourrait dire en voyant ça que je ne travaille pas?
17h40. Un café à la main, je me remets à ma rédaction. Toujours pas d'idées.
18h30. Des amis arrivent dans 1h30, et rien n'est prêt! Argh!
23h30. Soirée arrosée. Les amis sont partis, il y a de la vaisselle plein l'évier, mais je me sens très inspirée.
9h le lendemain. Et si je commençais par effacer les 6 pages écrites en état d'ébriété?
PS: ceci ne ressemble pas (vraiment) à une journée habituelle! ^^
Des fois, l'ébriété ne donne pas que des choses à jeter. A la place, on peut peindre par dessus, par exemple. Ou se dire : cool, j'ai fait six pages, je les garde, je les relirai plus tard.
RépondreSupprimerIl faut juste penser à boire plus souvent ;-)
RépondreSupprimerExcellente idée!
RépondreSupprimerJ'ai d'ailleurs 4 bouteilles de rhum arrangé en attente ^^